Vente OM ‍: Frank McCourt lâche l'affaire, ça sent la fin

Vente OM : Frank McCourt lâche l'affaire, ça sent la fin

Malgré ses nombreux démentis, Frank McCourt fait toujours l’objet de rumeurs concernant la vente de l’Olympique de Marseille. Il faut dire que le propriétaire du club phocéen alimente lui-même les bruits de couloir en s’éloignant progressivement.

La tendance ne fait que s’accentuer. Prêtes à contredire les affirmations de Frank McCourt, plusieurs sources affirment que la vente de l’Olympique de Marseille n’est plus qu’une question de temps. Le club phocéen serait bien sur le point de passer sous pavillon saoudien, et peut-être de basculer vers une nouvelle dimension avec des ambitions nettement revues à la hausse. Sûr de ses informations depuis des années, et ce malgré les critiques, Thibaud Vézirian s’attend à un rachat au début de la saison prochaine.

« Ça parait obligatoire, ça parait logique, ça parait inéluctable que ce soit fait à ce moment-là, a commenté le journaliste sur la chaîne YouTube Canal Olympien. Maintenant, ce n'est pas moi qui décide, mais je l'espère, même avant l'été prochain, sinon ce serait vraiment devenu un sketch délirant. De toute façon on le voit, Frank McCourt ne vient plus, ne se soucie plus du club, ne donne plus de directive, ne présente pas d'organigramme et ne se soucie pas de ce qui se passe. Au point de quitter le Conseil de surveillance et d'être obnubilé par son nouveau projet... »

McCourt persiste

De son côté, l’Américain continue pourtant de démentir. Après son départ du Conseil de surveillance, le propriétaire de l’Olympique de Marseille, via le porte-parole du groupe McCourt Global, avait certifié que ce changement n’annonçait pas une vente du club. « Aujourd'hui, les fausses informations provoquent de graves dégâts. Les rumeurs persistantes et les affirmations selon lesquelles j'aurais eu l'intention de vendre l'OM, malgré tout ce que j'ai pu dire, montrent à quel point celles-ci peuvent être tenaces », pouvait-on lire dans le communiqué le mois dernier.