Finalement, Cristiano Ronaldo échappe aux coups de fouet

Finalement, Cristiano Ronaldo échappe aux coups de fouet

Accusé d’adultère en Iran, Cristiano Ronaldo fait l’objet d’une étrange rumeur. L’attaquant d’Al-Nassr, qui a simplement serré une artiste dans ses bras en guise de remerciements, risquerait 99 coups de fouet après une condamnation. Il s’agit évidemment d’une fausse information dénoncée par l’ambassade iranienne en Espagne.

Cristiano Ronaldo a l’habitude des rumeurs plus ou moins crédibles. Mais celle-ci l’a sans doute bien amusé. Selon les médias iraniens Rouydad24 et Sharq Emroz, l’attaquant d’Al-Nassr a été condamné à une peine de 99 coups de fouet ! Cette folle histoire remonte au 18 septembre dernier, lorsque l’équipe saoudienne s’était rendue à Téhéran pour disputer un match de Ligue des Champions asiatique face à Persepolis (victoire 2-0).

Pas de coups de fouet pour CR7

Le Portugais avait profité de ce déplacement pour rencontrer Fatemeh Hamami, une artiste paralysée à 85% qui peint avec ses pieds, et qui lui avait offert deux tableaux. Pour la remercier, Cristiano Ronaldo lui avait offert un maillot avant de la prendre dans ses bras. Mais en Iran, le fait de serrer une femme célibataire dans ses bras représente un adultère condamné par la justice, qui aurait prononcé cette peine de 99 coups de fouet. Une information rapidement démentie par l’ambassade iranienne en Espagne.

« Nous démentons fermement toute décision de justice contre un sportif international en Iran. Il est inquiétant que la publication de telles informations infondées puisse éclipser les crimes contre l'humanité et les crimes de guerre contre la nation palestinienne opprimée. Il est à noter que Cristiano Ronaldo s'est rendu en Iran les 18 et 19 septembre pour disputer un match de football officiel et qu'il a été très bien reçu par la population et par les autorités. Sa rencontre sincère et humaine avec Fatemeh Hamami a également été louée et admirée à la fois par les gens et par les autorités sportives du pays », a répondu l’ambassade, choquée par la rumeur.