OM ‍: Ces quatre joueurs ont aidé à faire virer Gattuso

OM : Ces quatre joueurs ont aidé à faire virer Gattuso

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La nouvelle défaite de l'OM en Ligue 1, cette fois à Brest, maintient l'effectif marseillais sous pression. Et cela se ressent au moment de noter le match des joueurs de Gennaro Gattuso, viré depuis.

Les supporters de l’Olympique de Marseille se réveillent avec la gueule de bois ce lundi, le but brestois dans les ultimes minutes du match ayant douché encore une fois les espoirs phocéens de repartir un peu de l’avant en Ligue 1. Tandis que Pablo Longoria et Mehdi Benatia ont décidé de virer Gennaro Gattuso pour éviter le naufrage total du club phocéen cette saison, les footballeurs de l’OM ne peuvent pas échapper aux critiques. Et c’est peu dire que dans La Provence c’est le carnage au moment de noter les joueurs marseillais. Qui aime bien châtie bien, dit le proverbe, et les journalistes du quotidien régional avec quatre titulaires qui obtiennent la note pour le moins violente de 1,5 sur 10. Une performance historiquement mauvaise pour ces quatre joueurs qui ont droit à des appréciations désastreuses et qui sont évidemment plutôt brutales.

1,5 sur 10, ça ne rigole plus à l'OM

Pour les journalistes du média local, les quatre pires joueurs dimanche soir lors de la défaite de l'OM contre Brest sont Azzedine Ounahi, Ismaïla Sarr, Faris Moumbagna et Illiman Ndiaye. Et les commentaires individuels liés à leur prestation en Bretagne sont à la hauteur de cette note. Concernant l’ancien joueur du SCO Angers, La Provence n’y va pas par quatre chemins : « Il n’a pas à s’inquiéter pour sa place. Malgré des prestations quelconques, voire insipides, le natif de Casablanca continue de débuter des matchs. Il tricote dans le vide, fuit tous les duels. Il ne sert à rien en somme ». Pour Sarr, ce n’est guère plus tendre : « Il n’avait plus démarré une rencontre avec l’OM depuis le déplacement à Brighton. Il s’est retrouvé sur le côté droit et n’a rien fait à l’exception d’un centre pour Mbemba. Aucune inspiration, pas de vitesse d’exécution, ni d’accélération. Le néant. »

Au moment de justifier le 1,5 de Moumbagna, arrivé au dernier mercato, le média est un poil plus tendre : « Il s’est ébroué sur le front de l’attaque olympienne, n’a pas compté ses efforts, ni ses appels, mais il n’a jamais vu le ballon. Pas une seule occasion à se mettre sous les crampons. » Enfin, c’est Ndiaye, souvent pointé du doigt depuis quelques matchs, qui prend la dernière flèche au retour de Brest : « Frustré d’un penalty, il n’a pas été un modèle de combativité, cessant souvent ses efforts à la perte du ballon. Et comme il l’a fréquemment perdu… »