PSG ‍: Le Real, la première maladresse du clan Hakimi

PSG : Le Real, la première maladresse du clan Hakimi

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Recruté pour 60 millions d’euros hors bonus, le latéral droit Achraf Hakimi s’est engagé avec le Paris Saint-Germain jusqu’en 2026. Mais par la suite, l’international marocain rêve de retrouver son club formateur, à savoir le Real Madrid.

Rapidement annoncé proche du Paris Saint-Germain cet été, le latéral droit Achraf Hakimi a mis du temps avant de s’engager officiellement avec le club de la capitale. Les raisons sont simples si l’on en croit son agent Alejandro Camaño, qui évoque la concurrence de Chelsea ainsi qu’une clause en faveur du vice-champion d’Espagne. « Le Real Madrid avait une option de rachat jusqu'à ce que le PSG et l'Inter Milan disent que l'opération allaient aboutir, a confié le représentant lors d’un entretien accordé à la radio Onda Cero. (...) Chelsea a aussi poussé pour recruter Achraf. Mais peut-être que son titre en Ligue des Champions l'a fait reculer. »

Hakimi adore le PSG…

Finalement, le Paris Saint-Germain a été débarrassé de ces obstacles et a fini par boucler le transfert pour 60 millions d’euros hors bonus. De quoi ravir Achraf Hakimi qui avait donné sa préférence au pensionnaire du Parc des Princes. Alors comme toutes les recrues, l’international marocain n’a pas été avare en compliments sur son nouveau club. « L’image que j’ai du club, c’est surtout les grands joueurs qu’il y a ici et forcément les grands joueurs veulent venir dans un grand club comme Paris », déclarait l’ancien Nerazzurro à son arrivée.

… mais pas autant que le Real

Puis le néo-Parisien s’est même proposé au poste de gardien pour prouver sa détermination. Et sans doute afin de séduire les supporters. Mais les fans apprécieront beaucoup moins les paroles de son agent qui a révélé son plan de carrière. « Nous nous réservons l'espoir et le rêve qu'Achraf revienne au Real Madrid car il est né à Madrid, il a grandi à Madrid et comme but ultime, un jour, il aimerait jouer pour le Real Madrid », a lâché Alejandro Camaño, dont le client a été formé à la Maison Blanche, sans avoir l’opportunité d’y percer jusqu’ici.