Complot anti-PSG, Nasser Al-Khelaïfi passe aux menaces ‍!

Complot anti-PSG, Nasser Al-Khelaïfi passe aux menaces !

Nasser Al-Khelaïfi en a marre de voir que tout le monde s'amusait à taper sur le PSG, comme c'est le cas actuellement avec les sanctions de jeudi soir. Le président qatari prévient, il ne laissera plus rien passer sans rien dire. 

Quatre joueurs du PSG ont écopé ce jeudi soir d’un match de suspension avec sursis pour leurs chants prononcés après la victoire face à l’OM. Dans le même temps, la tribune Auteuil a été fermée de manière ferme pour un match, là aussi pour des chants anti-marseillais et homophobes. Des décisions qui font autant suite à ces actions dans un match très suivi, qu’à des prises de parole des politicien(ne)s ou associations devant le buzz autour de ces chants. Résultat, si des sanctions contre ces comportements ne sont pas illogiques, c’est le fait que ce soit toujours le PSG qui soit ciblé malgré des dérapages réguliers en ce sens dans les stades de football qui dérange au sein du club de la capitale. 

Comme pour la polémique du char à voile, les critiques pleuvent sur le club parisien un peu trop facilement au goût de Nasser Al-Khelaïfi. Il est convenant de se payer le PSG à chaque bonne occasion et cela commence à sacrément déranger le dirigeant qatari. Selon Sports Zone, le président du Paris SG a tenu à faire savoir, notamment à la LFP avant de se saisir du dossier du match face à l’OM, que son club n’avait jamais négligé les sujets de société et se démenait pour faire avancer les choses. Une mise au point qui a surtout tourné autour du fait que Paris était toujours le seul club à payer quand un comportement inapproprié était dénoncé, et Nasser Al-Khelaïfi a tenu à faire savoir que son club n’était pas un punching-ball sur lequel on pouvait taper pour se faire plaisir ou marquer le coup. 

Le PSG prêt à dénoncer d'autres clubs

Le PSG se réservait même le droit de dénoncer les chants entendus dans d’autres stades de France. Si l’échelle n’a pas grand importance dans ce genre de cas, des dérapages de la même tenue sont en effet fréquemment entendus ou enregistrés, sans que cela ne fasse réagir les observateurs, les médias, politiciens ou les instances. Le PSG ne veut plus être le seul à payer quand il y a des banderoles, des chants ou des comportements répréhensibles, et se tient prêt à aller loin pour faire respecter son club. Ces derniers temps, la LFP s’est saisie d’autres problèmes de ce type avec des chants injurieux, comme à Rennes lors du derby face à Nantes. Et le Paris SG compte bien veiller au grain de ne pas être le seul à payer les pots cassés dans ce problème récurrent autour du football.