Puel craint une épidémie de sifflets à Gerland

Ce dimanche, l’OL sera l’un des rares gros bras à recevoir avec la venue de Toulouse à Gerland. Un avantage à priori même si l’entraineur lyonnais reconnait que l’ambiance dans l’enceinte rhodanienne n’est pas toujours optimale pour certains joueurs. Si le mot « démission » est souvent accolé à son nom lorsqu’il est scandé par les supporters, la rédemption de Gomis auprès du public demeure un exemple à suivre. Mais dans l’autre sens, Jean II Makoun reste aussi une cible privilégiée, et le Camerounais n’a pas caché que cela lui faisait vivre quelques moments difficiles.

« Je ne suis pas bien placé pour parler de l'ambiance au stade mais j'ai bon espoir. Je suis optimiste et j'y crois. Bafé a montré qu’il était possible d’inverser la tendance. Maintenant, il ne faudrait pas que d'autres joueurs prennent le relais », a prévenu l’entraineur lyonnais. Une référence directe à Miralem Pjanic et Aly Cisskho, qui traversent tout deux une période délicate, et pris en grippe mardi face à Tel-Aviv par le public de Gerland lassé de voir plusieurs de ses joueurs très loin de leur niveau.