ASSE ‍: De grosses fortunes se bousculent pour le rachat

ASSE : De grosses fortunes se bousculent pour le rachat

Malgré les contretemps subis ces derniers mois, l’AS Saint-Etienne attire toujours les investisseurs. Le milliardaire russe Sergeï Lomakin s’est manifesté pour le rachat du club stéphanois. Et d’autres candidats aux moyens conséquents seraient également de la partie.

Les patrons Bernard Caïazzo et Roland Romeyer peuvent toujours croire à la perle rare. Le scénario n’incitait pourtant pas à l’optimisme compte tenu des récents événements, à commencer par le communiqué de KPMG. Pour rappel, le cabinet d’audit chargé de la vente de l’AS Saint-Etienne avait rejeté tous les dossiers en cours, estimant qu’aucun d’entre eux n’était suffisamment solide pour entamer des négociations exclusives. Mais dans ce même texte publié sur le site officiel des Verts, KPMG restait optimiste en affirmant que d’autres prétendants s’étaient manifestés.

Lomakin et deux autres candidats fortunés

Et visiblement, leurs projets sont plus convaincants sur le plan financier. On parle notamment de Sergeï Lomakin, le milliardaire russe à la tête de la 986e fortune mondiale, qui afficherait de grandes ambitions pour l’AS Saint-Etienne. Une excellente nouvelle pour la direction, d’autant que d’autres investisseurs aux moyens conséquents seraient également de la partie. C’est en tout cas la version du quotidien régional Le Progrès, selon lequel « les dirigeants stéphanois disposeraient de deux autres candidats fortunés, des étrangers encore, dont l’un a déjà investi dans un club de football. »

Il faut croire que ces deux investisseurs respectent à la lettre les consignes de KPMG puisque leur identité ainsi que le contenu de leur dossier n’ont pas fuité. Pas encore de quoi se frotter les mains pour les supporters. Car d’après le site de Peuple Vert, qui confirme les informations du journal, les discussions n’en seraient qu’au stade des premiers contacts. Aucune offre concrète ne serait donc sur la table à l’heure actuelle. Mais tout pourrait rapidement s’accélérer d’ici la fin de l’année civile.