PSG ‍: Sergio Rico peine à lâcher son contrat en béton

PSG : Sergio Rico peine à lâcher son contrat en béton

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Pour éviter de jouer le troisième rôle derrière le duo Gianluigi Donnarumma - Keylor Navas, Sergio Rico pourrait faire ses valises durant ce marché des transferts.

En faisant venir Gianluigi Donnarumma après son Euro victorieux avec l’Italie, le club de la capitale française a réalisé l’un des plus gros coups du mercato estival. Surtout que le gardien italien était libre de tout contrat après son départ du Milan AC. Mais désormais, Paris a une situation tendue à gérer avec ses portiers. Puisqu’à l’heure actuelle, le PSG a neuf éléments sous contrat : Gianluigi Donnarumma, Alphonse Areola, Keylor Navas, Sergio Rico, Marcin Bulka, Alexandre Letellier, Garissone Innocent, Denis Franchi et Lucas Lavallée. Le PSG n’aura donc pas une place pour tout le monde en vue de la saison à venir. Si plusieurs éléments vont probablement partir en prêt ou dans le cadre d’un transfert, comme Areola (West Ham ?) ou Bulka, Donnarumma et Navas devraient se disputer une place de titulaire. Derrière, il ne restera plus que des miettes pour les autres, et notamment pour Rico.

Un départ en Turquie pour Rico ?

Deuxième gardien du PSG la saison passée, l’Espagnol voulait rester à Paris, pour continuer de suppléer son ami Navas. Sauf qu’avec la venue de Donnarumma, la donne a complètement changé. Sous contrat jusqu’en 2024, le portier de 27 ans est loin d’être parti. Mais plusieurs clubs européens l’ont contacté pour prendre la température. En effet, selon L’Equipe, Besiktas courtise notamment l’ancien dernier rempart de Séville. Poussé vers la sortie par le PSG, qui veut récupérer des liquidités, le gardien recruté pour 6 millions d’euros l’été dernier, pourrait partir contre un chèque de 5 ME. Ou pas, car pour le moment, Rico n’a pas encore répondu à l’appel du pied du club d'Istanbul. Tout simplement parce qu’il ne sait pas s’il a envie de quitter Paris et son contrat plus que confortable… Un problème récurrent au PSG, où Leonardo a toujours autant de mal à vendre les indésirables.