100 millions d’euros, le retour à l’envoyeur coûte cher au PSG

100 millions d’euros, le retour à l’envoyeur coûte cher au PSG

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Le PSG est dans la course pour faire venir Christopher Nkunku. Mais le RB Leipzig a mis les barbelés au mercato. 

C’est avec la farouche volonté de se séparer de Mauro Icardi que le Paris SG attaque son marché des transferts estival. En faire de même avec Neymar reste très illusoire, mais l’attaquant argentin est lui poussé vers la sortie. Il n’a aucune garantie de temps de jeu pour la saison prochaine, peu importe l’entraineur qui sera en place. Résultat, Luis Campos n’écarte pas l’idée de faire venir un joueur offensif de premier plan, et c’est aussi dans cette optique qu’il travaille sur l’option Robert Lewandowski. Mais il y a un joueur qui fait rêver le PSG, et même ses supporters, il s’agit de Christopher Nkunku. Ce dernier a pris une nouvelle dimension au RB Leipzig. Formé en tant que milieu droit à Paris, l’international français a explosé comme attaquant axial, avec un poste d’électron libre qui en a fait tout simplement le meilleur joueur de Bundesliga la saison passée. De quoi attirer les convoitises, surtout que Nkunku est désormais un international français de plein droit, étant l’un des rares à avoir marqué quelques points pendant ces quatre matchs assez catastrophiques des Bleus en ce mois de juin. 

4 clubs sur les rangs, dont le PSG

De son côté, le club allemand ne compte pas s’en séparer, et a tenu à le faire savoir. Selon The Independent, Leipzig compte garder son joueur pendant encore au moins une saison. Ce serait aussi la volonté de Nkunku, sauf en cas de proposition folle. Le montant demandé par Leipzig est donc rondelet, puisque c’est la somme minimum de 100 millions d’euros qu’il faudra débourser pour faire craquer le RB. Le journal anglais précise que quatre clubs sont sur les rangs : Liverpool, Arsenal, Manchester United et donc le PSG. Le club français ne pouvait pas forcément tout prévoir, mais son transfert vers la Bundesliga pour 15 ME bonus compris, qui semblait alors presque une bonne affaire, a désormais un goût amer dans la bouche trois ans plus tard.