Aulas nie tout arrangement possible avec Puel

Aulas nie tout arrangement possible avec Puel

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Peu après le jugement du conseil des Prud’hommes, Jean-Michel Aulas et l’Olympique Lyonnais s’étaient félicités de la décision prise. Il faut dire que Claude Puel a été débouté de l’ensemble de ses demandes, qui s’élevaient à pratiquement 7 ME, liées à son licenciement du club un an avant la fin de son contrat, en juin 2011. Dans la foulée, le président de l’OL avait ouvert la porte à des négociations, laissant penser qu’un accord à l’amiable, maintenant que son club était en position de force, était envisageable. Il n’en est rien puisque le patron du club rhodanien a clarifié son point de vue dans les colonnes du Progrès, expliquant que cela n’était pas à l’ordre du jour, même si les représentants juridiques des deux parties pourraient être amenés à se revoir dans le cadre de cette affaire. 

« J’avais bon espoir que notre droit soit reconnu. L’insubordination est démontrée. Nous avions affaire à un juge professionnel avec ce départage. Cette décision rejoint celles des référés, qui nous ont toutes été favorables. Un accord avant l’audience du 6 février aurait été dans l’intérêt de Claude Puel, mais maintenant que le jugement est rendu, je ne vois pas comment on pourrait imaginer le moindre accord », a livré Jean-Michel Aulas, qui fait ainsi bien comprendre à son adversaire que ce dernier devrait renoncer à la plupart de ses demandes pour obtenir un accord à l’amiable avant le jugement de l’appel.