Vente OM ‍: Tout est faux, un journaliste lâche ses infos ‍!

Vente OM : Tout est faux, un journaliste lâche ses infos !

Même si Thibaud Vézirian persiste à dire que l'OM va être vendu, rien ne concrétise ses propos. Au contraire, un journaliste qui suit le dossier affirme que tout est faux.

C’est par une vidéo titrée « L’OM vendu ! Qu’en pensent les Saoudiens » qui ne laisse pas la place au moindre doute que Thibaud Vézirian a mis le feu vendredi midi, le chroniqueur de l’Equipe d’Estelle, affirmant que le club phocéen était en passe de changer de propriétaire, et allant même jusqu’à prendre le risque d’annoncer qu’un communiqué était déjà rédigé sur ce sujet. Seul problème, si un communiqué de l’Olympique de Marseille est bien sorti vendredi, c’est pour dire que tout cela était faux, Frank McCourt répétant son désir de continuer sa route dans la cité phocéenne. Mais comme un journaliste de Canal+ a lui aussi balancé des infos, toutes démenties et qui n’ont jamais été reprises sur la chaîne cryptée, le sujet est devenu bouillant, les supporters marseillais étant heureux à la fois de voir le duo McCourt-Eyraud partir, mais également de savoir que l’OM allait enfin avoir des moyens à la hauteur grâce à la reprise par le désormais célèbre Prince Al-Walid pour 480ME.

A quelques heures du Clasico OM-PSG, rien n’est sorti sur cette histoire, mais Thibaud Vézirian est toujours aussi certain que cela se fera et il en parlera après le match de ce dimanche soir. Mais Antoine Izambard, journaliste de Challenges qui l’an dernier avait eu des infos précises sur ce dossier, notamment au moment de la rumeur du rachat par le duo Ajroudi-Boudjellal,  affirme que rien n’a avancé concernant la vente de l’Olympique de Marseille. « Une source proche de Kingdom Holding Company m'a répondu vendredi qu'il n'y a « strictement rien avec l'OM ». J'avais signalé au printemps les démarches personnelles de Kacy Grine, conseiller d'Al-Walid, auprès de Jamie McCourt puis Frank McCourt. Selon la même source, cela n'est pas allé plus loin », explique Antoine Izambard, qui n'a rien à gagner, ou à perdre, dans ce dossier.