OM ‍: Sanchez et ses coups de pression, il reçoit une claque XXL

OM : Sanchez et ses coups de pression, il reçoit une claque XXL

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Alexis Sanchez sera en fin de contrat avec l'OM à l'issue de la saison. Le Chilien veut rester sur la Canebière mais compte avant tout remporter des titres. 

Lors de son arrivée à l'OM l'été dernier en provenance de l'Inter, Alexis Sanchez avait clairement affiché ses ambitions. Pour lui, les Phocéens se devaient de gagner des titres. Mais force est de constater qu'à moins d'un petit miracle en Ligue 1, cela ne sera pas le cas. De quoi frustrer le Chilien, qui aimerait que les ambitions marseillaises soient plus hautes. Il l'a encore rappelé dernièrement, ce qui a surpris sur la Canebière. Car si l'aventure de Sanchez à l'OM est pour le moment une réussite, certains observateurs n'aiment pas qu'un joueur soit au-dessus de l'institution. C'est notamment le cas de Mourad Aerts. 

Alexis Sanchez, l'OM reçoit un gros avertissement 

Pour Football Club de Marseille, le journaliste a donné son avis sur le cas Sanchez. Selon lui, l'OM ne doit pas se prosterner devant l'ancien joueur du Barça, alors que des rumeurs l'envoient de retour à River Plate. « Est ce que River Plate a les moyens de payer le salaire d’Alexis Sanchez ? River n’est pas un club plus riche que l’OM. Ils ne peuvent pas lui proposer beaucoup plus que l’OM. Sanchez est une satisfaction énorme à l’OM. Par contre j’en ai marre d’entendre : « Moi je reste à l’OM mais si c’est pour gagner ». J’ai envie de lui dire que c’est lui qui doit nous faire gagner. L’OM se prosterne un peu trop devant des mecs comme Sanchez, ou Luis Gustavo avant. Eux après sont en position de force et ils font ce genre de déclarations. Ce n’est pas l’OM qui doit te faire gagner. C’est toi qui doit faire gagner l’OM. Et à un moment donné il faut que l’OM gagne des titres », a notamment indiqué Mourad Aerts, qui espère que le dossier Sanchez trouvera une issue positive sans que l'OM se mette de côté pour le Chilien, âgé de 34 ans. Surtout que les Phocéens restent surveillés par les instances du fair-play financier.