Julien Stéphan à Bordeaux, la réponse mythique de Gérard Lopez

Julien Stéphan à Bordeaux, la réponse mythique de Gérard Lopez

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Les Girondins de Bordeaux ont été giflés par Auxerre samedi, et les supporters réclament désormais le départ de l'actuel entraîneur. Mais via SMS, et relayé sur X, un échange entre un influenceur bordelais et Gérard Lopez est devenu légendaire.

La température est montée de quelques degrés ce week-end en Gironde, le 2-4 infligé par l’AJA au club au scapulaire ayant énervé tout le monde. Et rapidement, c'est David Guion qui s’est retrouvé au cœur des critiques, l’entraîneur n’ayant pas empêché la descente de Bordeaux en Ligue 2, ni son retour en Ligue 1 la saison passée. Les supporters veulent dorénavant que cela change et l’ont fait savoir.

Lopez ayant une grande proximité avec plusieurs influenceurs tournant autour de son club, l’un d’eux, Jérémy Berrié, l’a personnellement contacté après le match et lui a envoyé par SMS le numéro personnel de Julien Stéphan, actuellement sans club, avec le message : « Bonjour Gérard, je vous donne le numéro de Julien Stéphan en espérant que vous en fassiez bon usage. Bonne fin de journée ». Et sur le message, on pouvait lire le 06 de l’ancien technicien de Rennes et Strasbourg. L’affaire aurait pu en rester là, personne ne l’aurait jamais su. Sauf que Gérard Lopez a porté l’histoire sur X (anciennement Twitter).

Pour le propriétaire des Girondins de Bordeaux, Jérémy Bérié devrait rester à sa place, mais Gérard Lopez a oublié un détail. « Faut savoir rester à sa place. Faites bon usage de cette phrase aussi. Bonne soirée », a répondu le patron de Bordeaux, qui a mis en ligne une copie d’écran de cet échange avec l’influenceur en oubliant de retirer le numéro de téléphone de Julien Stéphan. Visiblement alerté de cet oubli un peu gênant, Gérard Lopez a changé rapidement son message en masquant cette fois le numéro de l’entraîneur français, lequel n'avait rien demandé dans cette histoire. En attendant, le pauvre Jérémy Bérié a pris aussi un déluge de messages haineux, certains lui faisant remarquer qu'il devait rester à sa place.