L'OL fonce vers la catastrophe, le chouchou d'Aulas panique ‍!

L'OL fonce vers la catastrophe, le chouchou d'Aulas panique !

Icon Sport

L'OL n'y arrive décidément plus en Ligue 1. Battus à Brest samedi soir, les Gones sont actuellement dans la zone rouge du championnat après 6 journées disputées. 

Les fans et observateurs de l'OL ont pas mal de raisons d'être inquiets pour leur équipe... Le début de saison en Ligue 1 est cauchemardesque. Les premiers pas de Fabio Grosso à la tête des Rhodaniens ont été ratés à Brest samedi soir. Incapable de se montrer solide collectivement et efficace offensivement, l'OL s'enfonce dans une crise sans précédent. De quoi imaginer le pire en fin de saison ? Il est certainement trop tôt pour le dire, mais parmi les suiveurs lyonnais, on imagine mal les Gones pouvoir jouer autre chose que la seconde partie de tableau en Ligue 1. David Barbet ne dira pas le contraire, lui que l'on dit très proche de Jean-Michel Aulas.

Un OL sans pilote 

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par Olympique Lyonnais (@ol)

Sur son compte X, l'insider lyonnais a fait part de son ressenti, tout en donnant quelques informations intéressantes au passage. « J'ai peur pour l'OL. Bien sûr, on va gagner des matchs dans les prochaines semaines, mais est-on capable de se sortir de la deuxième partie du classement ? Dans les bureaux, les gens veulent partir ou sont virés... On a un président intérimaire qui sait qu'il ne va pas rester à la tête de l'OL et qui laisse le groupe seul. Textor est très souvent loin de Lyon, pas simple pour diriger le club et être directeur sportif. MLJ est simplement un chef du recrutement. Dans la sphère eagle, on se dit de plus en plus que l'OL va droit dans le mur et que c'était prévisible depuis quelques semaines. Les joueurs sont au fond moralement. Il y a une chose qui peut nous sauver, c'est les supporters. Ce sont les garants de ce que l'OL est. Il y a aussi les anciens joueurs qui doivent venir en aide au club au plus vite sinon ça va dans le mur à une vitesse grand v », a notamment souligné David Barbet, qui sait que le club a besoin d'un électrochoc rapide sous peine de craindre le pire.