Saliba préférait Nice à l'OM, Longoria et Sampaoli l'ont retourné

Saliba préférait Nice à l'OM, Longoria et Sampaoli l'ont retourné

Icon Sport

Du côté de l'Olympique de Marseille, on espère toujours trouver une solution avec Arsenal pour transformer le prêt de William Saliba en transfert. Pourtant l'OM n'était pas son premier choix.

Du haut de ses 20 ans, William Saliba a déjà vu du pays, ou du moins des clubs, puisque depuis qu’il a rejoint l’AS Saint-Étienne en 2016, le défenseur international avec toutes les catégories jeunes a signé en 2019 à Arsenal, qui l’a laissé chez les Verts sous forme de prêt, puis l’a confié à l’OGC Nice en janvier dernier, et enfin l’a une nouvelle fois prêté, mais cette fois à l’Olympique de Marseille. Pourtant, le défenseur de l’OM n’était pas du tout parti pour s’engager avec le club phocéen comme l’explique ce dimanche L’Equipe. En effet, Saliba souhaitait passer une saison de plus au Gym, d’autant plus avec la venue de Christophe Galtier sur le banc niçois. Du côté d’Arsenal, où Mikel Arteta ne souhaitait pas l’intégrer dans son effectif tout en refusant un transfert, on était prêt à prolonger le séjour azuréen de William Saliba, mais c’est là que Pablo Longoria et Jorge Sampaoli sont entrés dans la danse.

Saliba a décidé que l'OM était un meilleur choix pour sa carrière

Malgré le souhait de William Saliba de rester à l’OGC Nice, et le désir du Gym de le garder, le président de l’Olympique de Marseille et son entraîneur argentin ont décidé de lui proposer de rejoindre le club phocéen avec un discours très volontaire. « Ils lui ont présenté le projet de façon transparente et cela correspond à ce qu’il vit en ce moment », explique le quotidien sportif, qui précise que la venue de de Mattéo Guendouzi à l’OM, lui aussi prêté par Arsenal, et la présence de Boubacar Kamara et Pape Gueye, ont fini de convaincre William Saliba de tenter le pari marseillais, avec la réussite que l’on connaît. Marseille doit désormais mettre le paquet pour réussir à signer définitivement William Saliba, mais là c'est une autre histoire.