PSG-Angers, Thierry Henry supplie les arbitres

PSG-Angers, Thierry Henry supplie les arbitres

Aux commentaires du match de Ligue 1 entre le Paris Saint-Germain et Angers (2-1) vendredi au Parc des Princes, Thierry Henry a participé aux débats concernant le penalty litigieux accordé aux Parisiens. Mais pour le consultant de Prime Video, ces discussions n’existeraient pas si les arbitres prenaient enfin la parole.

Nouvelle victoire arrachée et nouvelle polémique pour le Paris Saint-Germain. Comme face à l’Olympique Lyonnais (2-1) le mois dernier, le vice-champion de France est venu à bout d’Angers grâce à un penalty très litigieux. L’arbitre Bastien Dechepy a sanctionné une main de Pierrick Capelle après une tête de Mauro Icardi, alors que l’attaquant argentin semble coupable d’une première faute sur Romain Thomas plus tôt dans l’action.

De quoi provoquer les plaintes angevines et un débat animé sur le plateau de Prime Video, où Thierry Henry aurait aimé que l’homme au sifflet mette un terme aux discussions. « J'ai toujours demandé pourquoi les arbitres ne viennent pas s'expliquer, s’est interrogé le consultant du diffuseur. Parce que nous, on est là en train de débattre. C'est bien, bon, moi, je pense qu'il y avait faute, je pense qu'il n'y avait pas main... Enfin bref, je pense qu'il y avait penalty sur Icardi en première période parce qu'on pouvait aussi en parler. »

Le rugby encore cité en exemple

« Donc nous, on est en train de débattre. Mais les arbitres, ils peuvent parler ou pas ? L'erreur est humaine, expliquez-nous ce que vous avez vu, ou pas vu, a réclamé l’ancien attaquant. On nous parle toujours de rugby. L'arbitre de rugby, on l'écoute, mais pourquoi ? Parce qu'on sait qu'il va parler. On sait qu'il va venir nous expliquer ce qu'il a vu, ce qu'il n'a pas vu, ce qu'il s'est passé. Donc tout le monde se tait et on écoute. Mais quand personne ne vient clarifier ce qui s'est passé, eh bien on débat. » Avec la possible mise en place de micros sur les arbitres, certaines décisions seront peut-être plus claires.