Le PSG prêt à tout pour recruter Griezmann

Le PSG prêt à tout pour recruter Griezmann

En cas de départ de Kylian Mbappé l’été prochain, le PSG sera dans l’obligation de recruter du lourd. Et selon les informations de la presse espagnole, le nom d’Antoine Griezmann est toujours présent dans l’esprit de Nasser Al-Khelaïfi.

Selon plusieurs sources, le Paris Saint-Germain a bel et bien tenté de recruter Antoine Griezmann lors du dernier mercato estival. En quête de joueurs offensifs pour renouveler son effectif, le PSG a tenté le coup mais l’Atlético de Madrid a fermé la porte à l’international tricolore. Nasser Al-Khelaïfi et Luis Campos se sont ensuite rabattus sur Randal Kolo Muani ou encore Bradley Barcola mais la piste Antoine Griezmann n’est pas définitivement rangée pour le club parisien. En effet, Todo Fichajes nous apprend que le nom du champion du monde 2018 est toujours sur la table au PSG dans l’optique du prochain mercato.

Luis Enrique a d’ores et déjà validé cette piste et serait ravi de compter Antoine Griezmann dans son effectif. Lié aux Colchoneros jusqu’en juin 2026, le natif de Mâcon sera difficile à déloger mais le média espagnol croit savoir que le PSG a de sérieux arguments pour tenter de convaincre l’Atlético de Madrid. Il se murmure par exemple que Paris envisage d’envoyer un ou deux joueurs au sein de l’équipe de Diego Simeone afin de faciliter un potentiel accord. Deux noms sont évoqués : ceux de Carlos Soler et… surprise, celui d’Ousmane Dembélé.

Le PSG prêt à sacrifier Dembélé ?

Le PSG serait prêt à sacrifier ces deux joueurs afin de récupérer « Grizou » dans son effectif. L’homme aux 123 sélections (44 buts) colle parfaitement à la philosophie de Luis Enrique, que ce soit dans l’utilisation du ballon mais également dans le pressing exigé à la perte de celui-ci. Reste que l’Atlético évalue Griezmann à plus de 100 millions d’euros et que pour l’instant, le milieu offensif de 32 ans n’a pas exprimé de désire de partir. Dès lors, le PSG part de très loin mais en période de mercato, rien n’est impossible. Le Qatar l’a prouvé à de multiples reprises depuis plus d’une décennie.