Marcel Desailly se retrouve depuis quelques semaines dans une polémique bien dérangeante. Il a en effet été désigné par un test ADN, papa d’une petite fille qu'il n'avait pas voulu reconnaitre dans le passé.
Pour beaucoup de footballeurs, l'après-carrière est une période difficile à gérer. Marcel Desailly ne dira pas le contraire. Le champion du monde 98, ancien capitaine de l'équipe de France, avait décidé de dire oui à des postes de consultant, notamment sur BeIn Sports. Son tempérament et sa science du jeu sont très appréciés par les fans de football. Mais voilà, en dehors des terrains, Desailly n'a pas toujours été au niveau. Il a notamment refusé de reconnaitre une fillette née d'une relation avec Cosma Batista de Alcantara. Mais l'ADN a parlé et le natif d'Accra (Ghana) se retrouve dans de sales draps. Car l'ancien footballeur se dit ruiné et dans l'incapacité de payer la pension demandée, devant notamment rembourser un redressement fiscal de 257 000 euros.
Des revenus presque inexistants ?
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Ces dernières heures, Le Parisien rappelle qu'une audience aura lieu le 10 décembre prochain au tribunal judiciaire de Paris. Sera alors validée (ou non) par la justice, l'expertise réalisée. Aussi, ce sera le cas des exigences de l'ancienne compagne de Marcel Desailly et mère de la fillette, Cosma Batista de Alcantara. Cette dernière demande le versement de 5000 euros par mois. Problème, l'ex de Chelsea affirme ne pas être en capacité de pouvoir payer un tel montant. Si Desailly percevait 8600 euros par mois pour son rôle de consultant BeIN Sports, l'homme de 56 ans a vu son contrat s'arrêter le 31 août 2024. Son avocate précise d'ailleurs que Marcel Desaillly « n’a aucune perspective d’un nouveau contrat ». Pour ne rien arranger, l'ancien footballeur affirme qu'il n'a aucune rentrée d'argent via ses sociétés, basées en France et au Ghana et qu'il doit déjà rembourser 5000 euros par mois au fisc français jusqu’en 2026 afin de s’acquitter d’un redressement fiscal de 257 000 euros. A noter que Marcel Desailly aurait déjà dû payer les pensions alimentaires de ses 7 autres enfants. De son côté, Cosma Batista de Alcantara ne croit pas aux problèmes d'argent du Français et veut être dédommagée. « Depuis que je le connais, il a toujours prétendu qu’il n’avait pas un sou. La seule chose qui a changé, c’est qu’à l’époque, je le croyais. Il ne cessait de me dire que nous allions emménager dans un appartement de 300 m2 qu’il possédait rue de la Paix à Paris, et nous n’y avons jamais vécu », a-t-elle notamment commenté.