OL ‍: Paqueta préfère Lyon, la Premier League s'étouffe

OL : Paqueta préfère Lyon, la Premier League s'étouffe

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L'avenir de Lucas Paqueta à Lyon semble toujours incertain, mais en Angleterre on pense que le joueur brésilien a déjà fait un choix très clair et qui les choque.

Interrogé jeudi au sujet de Lucas Paqueta, en marge d’une séance d’entraînement ouverte au public, l’entraîneur de l’Olympique Lyonnais avait reconnu une récente rencontre avec le joueur brésilien, mais il s’est bien gardé d’en dire plus. « Je veux garder tous les bons joueurs, mais il faut aussi être réaliste. Il y a l’avis du joueur qui est très important, celui de l’entraîneur, du club et des autres clubs. C’est toujours un jeu entre les différentes parties. Lucas Paqueta est un très bon joueur, mais ça dépend de ce que le joueur veut. J’ai déjà eu une discussion sur ce sujet avec lui, mais elle restera entre nous », a expliqué Peter Bosz. Cependant, le Sun va un peu plus loin que le technicien de l’OL, puisque le tabloïd affirme que Lucas Paqueta a fait le choix de rester une saison de plus au sein du club de Jean-Michel Aulas.

Paqueta aime Lyon et la Ligue 1 

Gary Stonehouse, journaliste de la rubrique football du Sun, écrit que « Lucas Paqueta, la star de Lyon, a snobé Arsenal, Tottenham et Manchester City » après que ces trois clubs l’aient contacté pour parler d’un possible transfert lors de ce mercato estival 2022. Le média anglais confirme les infos d’ESPN, à savoir que le milieu de terrain brésilien de 25 ans se sent très bien à l’Olympique Lyonnais et en Ligue 1 et qu’il souhaite pouvoir contribuer au redressement de l’OL après une saison décevante. Il est vrai que Paqueta a encore trois ans de contrat avec le club rhodanien, et qu’il n’y a aucune urgence financière à le vendre, et cela grâce à l’accord trouvé avec John Textor. Mais visiblement du côté de l’Angleterre on a du mal à croire qu’un tel joueur puisse refuser de venir dans un grand club de Premier League, surtout lorsqu’il s’agit d’un footballeur évoluant dans de ce que nos amis anglais appellent la « farmer league. »