PSG ‍: Le fair-play financier, c'est « ‍in the pocket ‍» pour Al-Khelaïfi

PSG : Le fair-play financier, c'est « in the pocket » pour Al-Khelaïfi

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Ciblé par une enquête de l'UEFA depuis son mercato estival de folie, le Paris Saint-Germain est plus que confiant par rapport à son avenir, qui ne sera en rien entaché par le fair-play financier, selon Nasser Al-Khelaïfi.

Cet été, le club de la capitale française a déboursé plus de 400 millions d'euros pour renforcer son effectif après une saison dernière mitigée. Après avoir recruté Neymar pour 222 ME, Paris a accueilli Mbappé en prêt assorti d'une option d'achat de 180 ME. Un investissement colossal qui a du mal à passer chez certains grands clubs européens, et notamment en Espagne, où la Liga a demandé des sanctions pour le PSG via le fair-play financier de l'UEFA. Mais pas d'inquiétude à avoir selon Nasser Al-Khelaïfi, qui avoue que son club a gagné beaucoup d'argent depuis six ans, et l'arrivée des Qataris, puisque les revenus sont passés de 90 ME à 500 ME.

« Nous prévoyons de continuer à augmenter nos revenus d’entre 20 à 40%. Nous avons un an pour rentrer dans les critères du fair-play financier. Nous avons jusqu’au 30 juin 2018. Donc je le dis à tout le monde : relaxez-vous et pensez à votre projet. Nous pensons à construire le nôtre. La pression des grands d’Europe ? Il y a des pressions venues d’autres clubs, mais je ne pense pas que l’UEFA sera influencée par ces pressions parce qu’ils sont très professionnels et très sérieux. Pour la millième fois, je suis très confiant. Nous respectons tous les clubs et nous attendons la même chose en retour. Nous avons investi dans le Championnat de France et pour être hautement compétitif en Ligue des Champions. Nous respectons toutes les règles et tous les règlements », a lancé, dans le Daily Telegraph, le président du PSG, qui n'a donc aucune inquiétude par rapport au fair-play financier de l'UEFA car Paris a déjà assuré ses arrières. Les suiveurs franciliens peuvent dormir sur les deux oreilles.