Le PSG à ses pieds, Francfort retient Kolo Muani

Le PSG à ses pieds, Francfort retient Kolo Muani

En discussion pour le transfert de Randal Kolo Muani, le Paris Saint-Germain peut compter sur la détermination du Français qui a réclamé un bon de sortie. Mais le club de la capitale se heurte apparemment aux exigences de l’Eintracht Francfort, qui a publiquement rappelé sa position de force sur ce dossier.

Après la signature d’Ousmane Dembélé, nouveau numéro 10 suite au départ de Neymar en Arabie Saoudite, le Paris Saint-Germain a clairement identifié ses prochaines cibles dans le secteur offensif. En plus du Lyonnais Bradley Barcola, le pensionnaire du Parc des Princes tente de recruter Randal Kolo Muani. Un intérêt réciproque puisque l’attaquant de l’Eintracht Francfort a indiqué à ses dirigeants qu’il souhaitait rejoindre le champion de France cet été. Ce coup de pouce n’a pourtant pas l’air de faciliter le travail du Paris Saint-Germain sur ce dossier.

La direction francilienne a bien entamé des négociations pour le transfert de l’international tricolore. Mais la formation de Bundesliga, qui attendrait près de 100 millions d’euros pour céder l’ancien joueur du FC Nantes, n’est apparemment pas satisfaite des échanges avec les Parisiens. Le directeur sportif allemand Markus Krösche a donc profité d’une conférence de presse pour rappeler au Paris Saint-Germain qui était en position de force dans leurs discussions.

Francfort serein pour Kolo Muani

« Randal a encore un contrat de quatre ans, a souligné le dirigeant de l’Eintracht Francfort. La situation n'a pas changé. Randal a encore un contrat de quatre ans, il a effectué la préparation estivale sans se blesser, et il est prêt pour le début de la saison. (…) Au final, c'est nous qui décidons. On a le contrôle de la situation et en conséquence, c'est une situation assez détendue de notre point de vue. » Au passage, Markus Krösche a précisé que Randal Kolo Muani pourrait être aligné contre le promu Darmstadt dimanche « si l'entraîneur Dino Toppmöller le décide ». Autrement dit, les négociations sont loin d’être avancées.