Joao Gomes, l’OL rend fou Wolverhampton ‍!

Joao Gomes, l’OL rend fou Wolverhampton !

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Depuis quelques jours, l’OL et Wolverhampton se livrent une intense bataille au sujet du recrutement de Joao Gomes.

Quel club va rafler la mise dans l’épineux dossier Joao Gomes ? La question est toujours entière alors que l’Olympique Lyonnais et Wolverhampton se livrent une intense bataille au sujet du milieu défensif brésilien depuis plusieurs jours. Sous contrat avec Flamengo jusqu’en juin 2027, Joao Gomes est certain de rejoindre l’Europe cet hiver. Mais alors qu’il était à deux doigts de s’engager en faveur de Wolverhampton, l’irruption dans ce dossier de l’OL a tout basculé. Malgré l’accord de principe entre le joueur et le club anglais, rien n’est finalisé car à ce jour, Lyon est toujours le club le plus offrant. A en croire les informations du journaliste brésilien Venê Casagrande, il est obligatoire pour Wolverhampton de revoir son offre à la hausse, sans quoi Joao Gomes ne rejoindra pas l’Angleterre mais prendra la direction de l’Olympique Lyonnais.

L'offre de l'OL est supérieure à celle des Wolves

Dans ce dossier épineux, où la patience est nécessaire et où les nerfs sont mis à rude épreuve, tout est encore possible pour l’OL. A en croire le journaliste, un accord de principe avait pourtant été trouvé entre Wolverhampton et Flamengo au sujet de Joao Gomes. Les deux clubs s’étaient entendus sur un transfert à hauteur de 17 millions d’euros, tandis que le joueur avait lui aussi donné son accord pour rejoindre les Wolves. La ténacité de John Textor a cependant fait basculer ce dossier dans une nouvelle dimension puisque l’OL a proposé autour de 20 millions d’euros. « Wolverhampton doit relever son offre sans quoi Joao Gomes se rendra à Lyon » selon le journaliste brésilien, pour qui rien n’est encore joué dans ce dossier. De passage dans la capitale des Gaules pour le match entre son club et Strasbourg ce week-end, John Textor avait promis de s’investir personnellement dans le mercato. L’homme d’affaires américain, nouvel actionnaire majoritaire de l’OL, tient sa première promesse. Sans que l’on sache pour l’instant si cela suffira ou non à rafler la mise.