Le renfort rêvé de l'OM détruit par un dirigeant italien

Le renfort rêvé de l'OM détruit par un dirigeant italien

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Depuis plusieurs mois, l'Olympique de Marseille étudie différents profils offensifs. Et ce week-end, un joueur ciblé par Pablo Longoria a annoncé qu'il allait partir de son club. Oui mais...

Vendredi soir, dans la foulée de la victoire de la Lazio contre Salernitana, Luis Alberto a provoqué un coup de tonnerre dans le ciel romain. Huit ans après sa signature en Italie, et après plus de 300 matchs sous le maillot de la Lazio, le milieu offensif espagnol a indiqué qu’il disputait ses dernières rencontre avec le club entraîné par Igor Tudor. « Je quitte la Lazio à la fin de la saison. C’est fini, j’ai déjà demandé la résiliation du contrat et je me sépare. Je ne veux plus recevoir 1 euro de la Lazio. Il est temps pour moi de quitter le club », a lancé Luis Alberto. Un message qui a mis en alerte les dirigeants romains, mais aussi ceux d’autres clubs européens, dont l’Olympique de Marseille qui a régulièrement pris des informations sur les conditions d’un éventuel prêt ou transfert du joueur formé au Barça. 

Luis Alberto ne sera pas prêté à l'OM

Mais du côté de la Lazio, on a fermement rembarré le milieu de terrain de 31 ans, qui a encore trois ans de contrat avec le club romain, aucun prêt ou départ libre n'est envisagé. « Il veut probablement partir gratuitement, mais il a un contrat et il est salarié du club. Nous ne jetons pas d’argent par la fenêtre. Les règles sont les règles, tant civiles que pénales, et elles doivent être respectées. Il a demandé une prolongation et il l'a eue l’été dernier, il est le deuxième joueur le mieux payé du club, il demande autre chose, il ne se présente pas au camp d’entraînement, comme vous.... et maintenant, il déclare cette chose, d’un coup, et sans rien dire au club. S’il veut partir, il doit trouver l’équipe qui l’achètera », a très clairement prévenu Claudio Lotito, qui a rappelé que son club était côté en bourse et qu'un joueur valorisé à 14 millions d'euros ne pouvait pas partir pour rien, les actionnaires de la Lazio n'étant pas du genre à accepter ce genre de gestion.