La nouvelle pépite du tennis français interdite de Ligue 1

La nouvelle pépite du tennis français interdite de Ligue 1

Icon Sport

Révélation de l'Open d'Australie dans le tableau masculin, Arthur Cazaux est un grand fan de football et plus particulièrement de Montpellier. Mais il doit faire face à quelques contraintes à ce niveau-là.

Arthur Cazaux a gagné le coeur de nombreux fans et observateurs de tennis français lors de cet Open d'Australie. Le Tricolore a atteint les huitièmes de finale, battu logiquement par Hubert Hurkacz ce lundi. Son année 2024 sera désormais suivie avec attention, lui qui va rentrer dans le top 100. Beaucoup l'attendront dans les autres tournois du Grand Chelem, dont Roland-Garros. Outre le tennis, Arthur Cazaux aime aussi beaucoup le football. Grand fan du MHSC, le natif de Montpellier ne rate aucun match lorsqu'il est en France. Cependant, l'histoire est autre quand il a des tournois à jouer avec du décalage horaire, comme c'était le cas en Australie. 

Cazaux, une passion débordante  

Interrogé sur le sujet par L'Equipe ces dernières heures, Cazaux s'est en effet livré sur le sujet et a affiché son grand amour pour les Héraultais. « Aller voir jouer La Paillade... Non, mais ça, c'est la routine ! (Rires.) Dès que je suis à Montpellier, je ne rate pas un match de foot à La Mosson. Quand je suis en tournoi, il faut savoir que je n'en loupe pas un seul et que je fais mes programmations d'entraînement en fonction des rencontres », a notamment indiqué le joueur de 21 ans, avant de confesser n'avoir pas pu suivre le dernier Brest-Montpellier : « A 1 heure du mat' (avec le décalage horaire), c'était un peu tard. Comme on était dans le même appart avec mon kiné (Paul Saint-Germain, surnommé PSG), il m'a dit : Si je t'entends te réveiller, je t'en mets une ! Du coup, je n'y ai pas eu droit, mais c'est le seul match de la saison que j'ai raté. Alors, je rends fou les gens de mon équipe parce que je leur dis que je ne peux pas m'entraîner quand il y a match. Mais j'ai besoin de ça. Depuis tout petit, je suis amoureux de ce club, je vis avec les joueurs, enfin, j'ai l'impression de vivre avec eux. Quand ils perdent, je suis défait. Quand ils gagnent, je suis super content. C'est sûr que quand je vais y aller, je ne vais pas changer mes habitudes... ». Voilà qui devrait faire plaisir à Montpellier, qui ne crachera pas sur le soutien d'un crack du tennis français, surtout dans une saison peu évidente jusque-là en Ligue 1.