Le PSG s'agace, mais n'est pas ciblé par la lutte anti-dopage

Le PSG s'agace, mais n'est pas ciblé par la lutte anti-dopage

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Mercredi soir, alors que le match contre Evian Thonon Gaillard avait traîné en longueur, le Paris Saint-Germain a appris que David Beckham et Javier Pastore devaient se soumettre à un contrôle antidopage, et cela quatre jours après un test similaire à Troyes, cette fois pour Lucas et Ezequiel Lavezzi. Et comme le rappelle le Parisien, après la rencontre à Barcelone, l’UEFA avait également procédé à un contrôle urinaire sur quelques joueurs du PSG.

Du côté du club de la capitale, si on tient à se plier sans problème à ces différents contrôles, on s’étonne quand même d’en être l’objet à chaque match, et cela même si les résultats de ces prélèvements sont toujours négatifs. Sur le plan pratique, ces tests d’après-match retardent à chaque fois le retour de Paris, et le quotidien francilien raconte ainsi que Lavezzi, qui avait du mal à fournir les échantillons demandés par les contrôleurs, n’était pas rentré en même temps que ses coéquipiers après la rencontre à Troyes. 

Interrogé par le Parisien, l’Agence Française de Lutte contre le Dopage a totalement rejeté l’hypothèse d’une opération visant particulièrement le Paris Saint-Germain, chaque contrôleur de l’AFLD étant libre d’intervenir là où il le veut dans sa région.