Berlusconi se fâche

Ce n'est pas le patron du Milan AC, mais le chef du gouvernement italien qui a décidé jeudi de taper sur la table au sujet de la violence dans les stades de football dans son pays. " L'Etat reprendra ses droits, et contre ceux qui confondent la violence avec le soutien aux sportifs, nous appliquerons la tolérance zéro ", a promis Silvio Berlusconi.