OL ‍: Une vente impensable en préparation ‍?

OL : Une vente impensable en préparation ?

Attaqué pour Malo Gusto et Castello Lukeba, l'OL repousse les offres. Cela pourrait changer fin août. 

L’Olympique Lyonnais n’a pas de loft, mais il y a des joueurs qui possèdent un bon de sortie. Un bon de sortie officiel comme Houssem Aouar, Jérôme Boateng ou Moussa Dembélé, ou un bon de sortie officieux en cas de belle offre comme Lucas Paqueta. Le Brésilien a été autorisé à rejoindre West Ham si la proposition des Hammers convenait, mais il a refusé de quitter l’OL. Parce qu’il s’y sent bien, ou parce que West Ham ne le fait pas rêver, les deux explications sont possibles et les dirigeants lyonnais se disent qu’ils ne sont pas plus mal avec un Paqueta motivé dans leur effectif. Néanmoins, Vincent Duluc l’affirme, les supporters lyonnais peuvent trembler, et ils le feront jusqu’à la fin du mercato. Car deux pépites du clubs sont sérieusement attaquées, et personne n’est certain que l’Olympique Lyonnais refusera des offres colossales si elles venaient à tomber sérieusement. 

Des offres folles déjà effectuées

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Malo Gusto et Castello Lukeba ont pris le pouvoir la saison dernière, pour devenir des titulaires en puissance aux yeux de Peter Bosz. L’OL a de quoi se féliciter une nouvelle fois des promesses de son centre de formation qui se confirment au plus haut niveau. Les deux joueurs sont en constante progression et voient certainement un avenir radieux s’ouvrir devant eux. Mais selon la plume de L’Equipe, il ne faudrait pas non plus que les portes s’ouvrent trop tôt. Les deux joueurs de 19 ans sont apparus dans le viseur de plusieurs gros clubs européens, et des offres jugées « mirifiques » sont tombées ou peuvent encore tomber. L’OL a fait savoir qu’il n’était pas vendeur, du moins pour ces deux joueurs. C’est la position officiel du club rhodanien, qui doit toutefois se séparer de quelques éléments pendant ce mois d’août pour équilibrer son effectif et sa balance commerciale. Si cela ne devait pas être le cas, alors Jean-Michel Aulas pourrait finir par regarder, fin août, si Malo Gusto ou Castello Lukeba font toujours rêver des ténors européens.