Ce mercredi, le PSG affrontera Flamengo en finale de la Coupe Intercontinentale. Pierre Ménès a plus que hâte d'assister à cette affiche particulière.
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PSG a l’opportunité de remporter un nouveau trophée prestigieux ce mercredi face à Flamengo. Les joueurs de Luis Enrique pourraient ainsi soulever un titre encore jamais remporté par un club français : la Coupe Intercontinentale. Le Paris Saint-Germain pourra compter sur plusieurs retours importants pour cette finale. De nombreux supporters et observateurs du football français attendent avec impatience de voir comment le PSG abordera cette rencontre. Pierre Ménès ne dira certainement pas le contraire.
Le PSG peut marquer l'histoire
Sur sa chaine YouTube, le consultant a en effet fait part de son excitation avant ce PSG-Flamengo, tout en piquant l'OM au passage : « La Coupe intercontinentale, c’est la première fois qu’un club français va la jouer puisqu’on se souvient que lorsque Marseille a remporté la Ligue des Champions en 93, ils avaient été relégués en Ligue 2 après l’affaire VA/OM et ils avaient donc été exclus de cette finale. C’est donc la première fois qu’un club français va la jouer. Il ne faut pas banaliser ça. En plus c’est un match contre Flamengo. C’est quand même une chouette affiche ».
Sur sa lancée, Pierre Ménès a également abordé le Trophée des Champions, qui aura lieu le 8 janvier prochain entre le PSG et l'OM. Selon lui, les deux matchs sont incomparables : « Il ne faut pas mélanger les deux matchs. Effectivement, le Trophée des Champions en janvier au Koweït, tout le monde s’en fout. Il n’aura d’intérêt que parce que ça va être contre l’OM. Cet intérêt, il sera partagé par les deux équipes, à moins qu’une des deux équipes ne décide de faire l’impasse dessus. Mais franchement, vu la rivalité entre les deux clubs, ça m’étonnerait ».
Le PSG s’apprête en tout cas à conclure une année 2025 historique et riche en émotions. Le club de la capitale peine encore à récupérer l’ensemble de son effectif, en raison d’une préparation tronquée et de blessures à répétition. Malgré cela, Luis Enrique parvient à maintenir un groupe soudé, tout en intégrant plusieurs jeunes joueurs issus du centre de formation, qui n’ont pas froid aux yeux.