L'arrivée prochaine de Xabi Alonso sur le banc du Real Madrid annonce de grands changements. Le Basque devra trouver la solution pour équilibrer son onze. Cela passe par un départ en attaque. Et si c'était Vinicius, fortement convoité par les Saoudiens ?
Aussi brillant soit-il, Carlo Ancelotti s'est cassé les dents sur le Real Madrid 2024-2025. Avec la venue de Kylian Mbappé, la Maison Blanche avait fière allure en attaque. Le Français accompagnait Vinicius Jr, Rodrygo et Jude Bellingham. Néanmoins, l'équilibre collectif a rarement été trouvé. Les Merengues ont déçu, ne récoltant aucun titre. Futur successeur de l'Italien, Xabi Alonso aura pour mission de trouver la solution au problème. Le Basque mettra en place un jeu collectif exigeant avec une défense à trois. Un attaquant risque de quitter le club madrilène. Rodrygo est le favori pour être sacrifié au mercato, à moins que le marché ne désigne un autre partant.
L'Arabie Saoudite met le paquet sur Vinicius
En effet, Vinicius est convoité par l'Arabie Saoudite depuis plusieurs mois. Les Saoudiens tenteront le tout pour le tout cet été avec une offre difficilement refusable, même pour le Real Madrid. Selon le média espagnol Fichajes, le Royaume propose 250 millions d'euros pour le transfert de l'ailier brésilien. Cela ferait de Vinicius le joueur le plus cher de l'histoire devant Neymar, lequel avait été acheté 222 millions d'euros par le PSG en 2017.
La position du Real sur le sujet Vinicius demeure floue. « Aucune décision définitive n'a été prise dans les bureaux du Santiago Bernabeu. La proposition est tentante, mais il existe un fort débat interne entre profiter de l’opportunité économique et conserver le joueur qui, pour beaucoup, est destiné à diriger le projet pour la prochaine décennie », écrit Fichajes. Xabi Alonso aura sans doute le dernier mot dans le dossier Vinicius. La saison en demi-teinte du joueur, notamment à cause de son manque d'investissement sur le plan physique, ne plaidera pas en sa faveur vis-à-vis d'un entraîneur qui fait énormément courir ses équipes.