Strasbourg tout sourire

Strasbourg tout sourire
Le RC Strasbourg a fait la bonne affaire de la 4e journée de Ligue 2 en s’imposant à Brest (0-1). Metz a été freiné à domicile par Boulogne (1-2).

Un départ de rêve

Le début de saison parfait du RC Strasbourg continue. Et pour une fois, les Alsaciens n’ont pas vu leur succès se dessiner dans les dernières secondes du match. A Brest, chez l’un des outsiders du championnat, Strasbourg s’est imposé 1-0 sur un nouveau but de leur attaquant Dos Santos, inscrit dès la 7e minute. Ce succès permet aux Strasbourgeois de faire la différence sur leurs poursuivants, accrochés ce vendredi pour la plupart. Le voisin messin a tout d’abord trébuché à domicile devant Boulogne (1-2), pour qui les buts de Blayac (24e) et Perrinelle (76e) auront largement suffit, en dépit de la réduction du score de Cissé sur pénalty à trois minutes de la fin. Enfin, Angers, a préservé son invincibilité, mais a laissé passer la victoire à Clermont, concédant le nul 2-2 après avoir mené 2-0 en début de rencontre. Dans ces conditions, le nouveau dauphin du Racing se nomme Vannes. Les Bretons ont fait tomber Troyes (1-0), quinze jours après eu raison de Lens. Le promu s’est contenté d’un but de Lebouc à la 31e minute pour poursuivre son début de saison de rêve.

Guingamp est déjà loin

A l’opposé du sans faute strasbourgeois, le zéro pointé des Guingampais. Les Bretons se sont inclinés à Bastia (2-1) et ne comptent toujours aucun point. Ils partagent donc la dernière place avec Nîmes, qui ne jouera que lundi contre Lens. Mais les Bretons sont déjà distancés dans la course au maintien, puisque la victoire de Dijon face à Tours (2-1) laisse seulement trois équipes à ne pas avoir connu le succès. Avec Guingamp et Nîmes, Amiens possède ce triste privilège. Les Picards ont une nouvelle fois déçu en s’inclinant 1-0 à Châteauroux. Enfin, Montpellier a créé la surprise de cette journée en s’imposant 4-0 sur le terrain de Reims. Les joueurs de Rolland Courbis se repositionnent ainsi après un début de saison en demi-teinte.


Guillaume Comte