Canal+ ‍: Stéphane Guy viré, Bolloré prend un tacle en direct ‍!

Canal+ : Stéphane Guy viré, Bolloré prend un tacle en direct !

Photo Icon Sport

Le limogeage de Stéphane Guy le 24 décembre continuer à faire des vagues. Et sur Europe 1, la chaîne cryptée et son patron ont pris un bon tacle à la carotide. 

En ce samedi de boxing day, les amateurs de football anglais vont devoir composer sans Stéphane Guy, qui était devenu la voix de la Premier League en France depuis qu’il commentait les rencontres du championnat anglais sur Canal+. On ne sait pas ce que fera le journaliste lorsqu’à 13h30 sera donné le coup d’envoi de Leicester-Manchester United, mais il est clair que pas mal de monde pensera à lui. De nombreux voix s’élèvent concernant la manière dont Stéphane Guy a été traité par les dirigeants de la chaîne cryptée, et notamment par Vincent Bolloré, le grand patron de Vivendi, seul décideur dans ce genre de d’opération. Au micro d’Europe 1, Pascale Clark, qui dans le passé a travaillé pour Canal+ où elle animait En Aparté, a vidé son sac.

Et la journaliste de rebondir sur l’actualité du football pour parler de Stéphane Guy. « Thomas Tuchel l’entraîneur allemand du PSG viré un 24 décembre. Franchement, ils ne pouvaient pas attendre quelques jours. Remarquez il y a pire encore. Lui il commentait le foot depuis 23 ans. 23 ans sur Canal+. Bon, plus trop les grands matchs européens, car Canal+ n’avait plus les droits. Stéphane Guy, journaliste sportif viré un 24 décembre aussi comme Tuchel. Il avait eu à l’antenne un petit message de sympathie lors d’un match Montpellier – PSG, sympathie pour l’un des humoristes de la chaîne, Sébastien Thoen, lui-même éjecté pour un sketch très drôle parodiant « L’Heure des Pros » sur Cnews chaîne du groupe Canal+. Pas grand-chose vous voyez, Stéphane Guy avait juste salué son ami là où tout le monde, ou presque, s’était tu. Comment dire, quitte à employer un cliché un peu éculé, oui, parfois le Père Noël est une ordure », a lancé à l’antenne d’Europe 1 une Pascale Clark bien agacée.