Au-dessus de l’OM et du PSG, Strasbourg bluffe l’OL

Pour une fois je ne suis pas d'accord avec toi. Sans avoir été brillant il n'a pas été mauvais. Paixao a des qualités qu'il n'a pas pu mettre en œuvre car autour de lui il y avait Garcia et O'Riley qui ont d'une telle nullité... Paixao sont jeu est basé sur la vitesse et le mouvement. Et quand tu as deux poteaux qui ratent quasiment tout leurs contrôles, leur dribbles et font des passes vers l'arrière après avoir touchés 4-5 fois le ballon, aucune chance de voir Paixao briller. C'est comme pour Aubam, il ne peut briller s'il passe son temps à décrocher pour demander le ballon dos au but au milieu du terrain. Et pourtant c'est le seul moyen pour lui d'espérer toucher le ballon. On n'a qu'un joueur capable de se créer ses actions tout seul. C'est Greenwood. Tout les autres, sans le collectif qui suit, c'est quasi impossible de briller.

Si il y en a un qui s'y connait en médiocrité, c'est bien lui!!^^ Il est donc tout a fait légitime sur ce sujet!!

Pierrot posséde un franc parler et une fine connaissance du football , je le connais depuis + de 30 ans il était encore que journaiste à l'union est suivé le Stade à Delaune .

Tessman est juste un joueur moyennasse quoi... Quand tu viens de Venise et que t'as couté 3/4 barres, tu peux pas attendre monts et merveille du mec quoi... Prévisible une fois de plus

Oui comme tu dis Paixao a été très bougeant quand les autres étaient mous. Le jeu de Paixao n'est pas le dribble, c'est plus le débordement, la vitesse, la combinaison à une touche et les frappes de loin. Ce n'est pas un finisseur ou un renard des surfaces, ni un dribbleur. Quand autour de lui c'est statique, mou, il ne peut rien faire et ne sert à rien. Mais est-ce que c'est de sa faute? Je ne connais pas de style de jeu basé sur l'absence de mouvement et la nonchalence. Mercredi il n'y avait aucune intensité. Et sans intensité, dans le foot aujourd'hui, tu n'arrives à rien. Sinon je suis d'accord avec toi pour Payet. Seulement, il n'aurait pas défendu ni mis de l'intensité. Payet c'était un dribbleur, un gars capable de fulgurance sur un geste, très bon techniquement, mais absent quand il fallait mettre de l'intensité. Et aujourd'hui le jeu est au collectif et plus à l'exploit individuel. Il faut maintenant défendre et presser et faire une bonne passe à la récupération du ballon pour mettre un contre.