Ita ‍: Milan vire Bahreïn, 1,3 milliard d'euros arrivent des Etats-Unis ‍!

Ita : Milan vire Bahreïn, 1,3 milliard d'euros arrivent des Etats-Unis !

Alors que le fonds du Bahreïn Investcorp semblait parti pour rafler la mise, le Milan AC devrait finalement rester sous pavillon américain. D’après la presse italienne, la société Eliott Management Corporation négocie désormais un partenariat avec RedBird Capital Partners, principal actionnaire de Toulouse.

Les supporters du Milan AC assistent à un gros revirement de situation. Mis en vente par la société Eliott Management Corporation, le pensionnaire de Serie A devait atterrir entre les mains d’Investcorp. Le fonds d’investissement basé au Bahreïn avait bien avancé dans les discussions pour le rachat et affichait déjà de grandes ambitions. Parmi ces objectifs relayés dans les médias, le repreneur annoncé envisageait d’abandonner l’Inter Milan à San Siro et de construire son propre stade.

Le projet avait fait parler dans la mesure où les deux clubs évoquaient l’idée de bâtir une nouvelle enceinte commune. Mais le débat ne durera pas puisque les échanges avec Investcorp ont finalement échoué. Désormais, c’est un autre acteur qui s’apprête à prendre les commandes du Milan AC. D’après le quotidien économique Il Sole 24 Ore, Eliott Management Corporation négocie maintenant avec une autre société américaine, à savoir RedBird Capital Partners, connu dans l’Hexagone en tant qu’actionnaire majoritaire de Toulouse, le champion de Ligue 2 promu dans l’élite.

Eliott pourrait rester actionnaire minoritaire

Ce nouveau candidat serait bien parti pour acquérir les Rossoneri contre un montant estimé à 1,3 milliard d’euros, voire 1,8 si les bonus prévus sont atteints. A noter que l’opération n’est pas encore terminée. Les deux parties arriveraient à ce même stade final où Investcorp avait échoué. Mais la différence, c’est que RedBird Capital Partners et son fondateur Gerry Cardinale souhaitent devenir actionnaires majoritaires, tout en laissant une part à l’actuel propriétaire. Les discussions portent donc sur une éventuelle collaboration, et non sur une succession.