ASSE ‍: David Blitzer lâche le chèque, l'avenir des Verts se joue maintenant

ASSE : David Blitzer lâche le chèque, l'avenir des Verts se joue maintenant

Icon Sport

Au point mort depuis plusieurs semaines, le dossier de la vente de l’ASSE a des chances de s’accélérer dans les jours à venir.

Selon les informations obtenues par RMC, le dossier de la vente de l’AS Saint-Etienne est susceptible de prendre un nouveau tournant dans les jours à venir. Et pour cause, la radio fait savoir qu’avant de pouvoir transmettre une offre écrite, les acheteurs potentiels devaient attende que le bilan comptable de la saison soit clôturé. A l’ASSE comme dans la plupart des clubs professionnels, ce bilan financier se clôture au 30 juin. Cela signifie que les potentiels acheteurs de Saint-Etienne ont maintenant le bilan financier en main et ont la liberté de transmettre leurs offres à Roland Romeyer ainsi qu’à Bernard Caïazzo. Et pour RMC, il ne fait aucun doute que David Blitzer est le grand favori au rachat des Verts.

Une offre de Blitzer entre 60 et 80 ME ? 

L’homme d’affaires américain est actuellement le mieux placé dans la course au rachat des Verts. Il y a deux semaines, David Blitzer avait envoyé une délégation à Saint-Etienne afin de rencontrer les dirigeants, visiter le stade Geoffroy-Guichard ainsi que le centre d’entraînement. Cette visite n’avait pas abouti sur une offre officielle de l’homme d’affaires américain, mais tout pourrait se décanter dans les jours à venir. Une offre comprise entre 60 et 80 millions d’euros est à l’étude. Cette somme permettrait de couvrir l’achat des actifs de l’ASSE mais également de son passif avec l’apurement des dettes. Le dossier tend donc à s’accélérer même si pour l’heure, il convient de rester prudent. Une chose est certaine, avec la relégation en Ligue 2 qui a fait baisser le prix d’achat des Verts ainsi que la clôture du bilan sportif, tous les feux sont au vert pour que ce rachat entre enfin dans une phase plus concrète dans les jours à venir. Même si les supporters commencent à perdre patience, alors que Roland Romeyer n'est pas convaincu par les intentions de David Blitzer.