Peu en vue pour ses débuts avec le Paris Saint-Germain, Khvicha Kvaratskhelia bénéficie de la patience de son entraîneur Luis Enrique. Mais en Italie, l’ancien joueur de Naples fait déjà l’objet de critiques dans les médias.
Il faudra peut-être patienter avant de voir Khvicha Kvaratskhelia éblouir le Parc des Princes. Arrivé cet hiver, l’ailier du Paris Saint-Germain n’a pas brillé pour ses débuts. L’international géorgien, certes auteur d’une passe décisive contre le Stade de Reims (1-1), a souvent manqué de réussite dans ses initiatives et d’automatismes avec ses coéquipiers. Rien de grave pour son entraîneur Luis Enrique.
Le PSG n’est pas l’OM, Kvaratskhelia peut prendre son temps https://t.co/vcV0oTcrgd
— Foot01.com (@Foot01_com) February 6, 2025
En conférence de presse jeudi, l’entraîneur parisien a donné du temps à sa recrue pour s’adapter. Khvicha Kvaratskhelia n’a malheureusement pas bénéficié de la même clémence de l’autre côté des Alpes. Le renfort à 70 millions d’euros, pas forcément étincelant avant son départ du Napoli, a récolté les critiques du Corriere dello Sport sur ses performances et sur l’accueil du Paris Saint-Germain jugé banal. « Jusqu'à présent, il a joué trois matchs, un seul en intégralité, et tout compte fait, il n'est pas non plus très bon », peut-on lire dans le quotidien sportif.
Pas de présentation à la Messi
« Khvicha Kvaratskhelia est arrivé à Paris comme un joueur parmi tant d'autres : pas de présentation particulière à la manière de Messi, Ibra ou Neymar, mais la routine qui accompagne les nouveaux joueurs du Paris Saint-Germain ces deux dernières années, ont constaté nos confrères italiens. Vidéo de l'arrivée, premiers mots, photos avec le maillot, bref, les choses habituelles. Ce à quoi il faut ajouter une présentation au Parc des Princes avant le match que le PSG a disputé contre Manchester City en Ligue des Champions et auquel, malheureusement pour lui, le Géorgien n'a pas participé car il ne figurait pas sur la liste. » Une belle prestation face à Monaco ce vendredi soir pourrait déjà calmer ses détracteurs.