Cité comme un candidat au rachat de l'OL, Jean-Michel Aulas a immédiatement réagi à cette information qui a forcément fait grand bruit à Lyon.
L’été s’annonce chaud à Lyon, où il est difficile de savoir si John Textor a une quelconque maitrise de la situation alors que son club est dans le viseur de la DNCG en France, de l’UEFA en Europe et de la FIFA dans le monde du football. Beaucoup de problèmes en vue donc, même si l’Américain garde une confiance à toute épreuve. Il va falloir désormais confirmer ça devant les instances dans les prochaines semaines. En cas de relégation en Ligue 2, ce qui est déjà prononcé à titre conservatoire par la DNCG, l’OL afficherait alors au grand jour ses difficultés financières. De quoi nourrir tous les fantasmes comme celui dévoilé dans l’émission « Tant qu’il y aura des Gones » où il était question d’une reprise du club par Jean-Michel Aulas avec l’appui d’investisseurs comme Xavier Niel. Une information étrange pour celui qui vient de racheter l’US Créteil, le club de sa ville natale.
Aulas crie à la fake-news
Il n’y a jamais eu de projet de ce type pour Holnest ni avec X Niel ni avec personne et les personnes qui font courir ce bruit ont sûrement intérêt à diffuser ce genre de fake news pour qui ? …. Tout cela ne m’intéresse définitivement pas !
— Jean-Michel AULAS (@JM_Aulas) May 12, 2025
Si le média a rapidement nuancé ses propos, le dirigeant historique de l’OL a tenu à faire savoir sa position, et qu’il était bien loin de tout cela. « Il n’y a jamais eu de projet de ce type pour Holnest ni avec X Niel ni avec personne et les personnes qui font courir ce bruit ont sûrement intérêt à diffuser ce genre de fake news pour qui ? …. Tout cela ne m’intéresse définitivement pas », a expliqué un Jean-Michel Aulas qui est sur tous les fronts en ce moment avec la Ligue féminine, les changements majeurs attendus à la LFP, l’avenir de l’Olympique Lyonnais et sa probable candidature à la Mairie de Lyon. Un retour à l’OL doit certainement le démanger, mais les contraintes que cela impose et le fait que John Textor et Ares Management ont les mains sur la finance n’orientent pas vers un rachat brutal du club lyonnais par son ancien boss.