Thiriez dénonce la violence dans les stades

A peine le coup de sifflet final donné à Grenoble et à Nice, Frédéric Thiriez a fait savoir par le biais d’un communiqué de presse qu’il s’offusquait du climat malsain qui a pesé dans ces stades. A Grenoble, des fumigènes ont été lancés sur le terrain à plusieurs reprises, tandis qu’à Nice, ce sont des supporters qui ont tenté de prendre d’assaut la tribune d’honneur avant d’être repoussés.

 

« Notre football est pris en otage par des groupes violents qui sont ses pires ennemis. Il n'est pas question de les laisser continuer à agir. Je me concerterai avec les pouvoirs publics dès la semaine prochaine pour mettre au point toutes les mesures permettant de revenir à une situation normale dans nos stades », a promis le président de la LFP.