Brest, touché, coulé....

Brest, touché, coulé....

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Le Stade Brestois a connu une semaine agitée avec le limogeage de Landry Chauvin et son remplacement par Corentin Martins, jusqu’alors directeur sportif du club breton. Le choc psychologique parfois engendré par ces changements n’a pas eu lieu et le SB29 a sombré à Bastia (4-0), s’enfonçant un peu plus dans la zone de relégation.

« La chance n'a pas été en notre faveur, même si on ne peut pas parler de chance quand on prend 4-0. Mais si on avait ouvert le score, le match aurait été différent. A 2-0 ça devenait difficile, ce fut un moment clé. On a continué à jouer, on a mis une frappe sur le poteau qui aurait pu être celle du 2-1. On raté des choses, des opportunités. C'est la différence entre une équipe en confiance et une autre à qui la chance ne sourit pas. On connaissait la vitesse de Bastia, c'est une équipe qui a mérité son succès. Ce n'est pas la conséquence des événements de la semaine, mais on ne peut pas l'exclure, car on ne peut pas dire qu'ils n'ont pas joué. Un sportif a besoin de sérénité, mais les joueurs étaient malgré tout concentrés. Pour l'avenir, il faut désormais se concentrer et repartir de l'avant », a reconnu Corentin Martins, qui rêvait probablement d’un autre scénario pour sa première.