Bordeaux, de l'avantage d'être un gros

Bordeaux, de l'avantage d'être un gros

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Les Girondins ont eu ce qu’ils voulaient : éviter l’Inter Milan et tomber contre l’Olympiakos. Ce n’est pas pour autant gagné d’avance.

Pour espérer atteindre les quarts de finale de la Ligue des Champions, les Girondins ont évité le pire : à savoir une confrontation face à l’Inter Milan. Le président bordelais était conscient d’avoir été plutôt épargné par le sort ce vendredi à Nyon, même s’il n’est bien sûr pas question de lever déjà les bras et de faire un tour d’honneur.

 

« Nous voulions éviter l'Inter Milan, c'est chose faite. Olympiakos ? Je ne sais quoi dire. Ils doivent être contents, eux aussi, du tirage au sort car nous ne sommes pas un des plus gros même si on était dans le pot des premiers. On fait partie des gros et on doit s'y habituer. Certes, le tirage est favorable, mais il sera bon quand on connaîtra le résultat des deux matches. Il ne sert à rien de fanfaronner à ce stade de la compétition », a prévenu Jean-Louis Triaud.