Blanc ‍: « ‍Le mercato, un supermarché ‍»

L’entraîneur des Girondins de Bordeaux est réaliste au moment d’évoquer un marché des transferts plutôt calme du côté des champions de France en titre.
« Le mercato dépend surtout de ce qu'on a dans le porte-monnaie ! L'argent, c'est le nerf de la guerre. Plus que jamais. C'est peut-être un peu brutal ce que je vais dire, mais le mercato s'apparente à un supermarché : tu dois d'abord connaître le montant de l'enveloppe pour pouvoir décider quel contingent de joueurs tu peux recruter. Si Chamakh part, on risque d'avoir beaucoup d'argent en poche mais sur le terrain plus de défenseur et d'attaquant », constate Laurent Blanc dans la Dépêche du Midi.