A l’OL comme à Bordeaux, « ‍il n’y a pas le feu ‍»

A l’OL comme à Bordeaux, « il n’y a pas le feu »

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Le quart du championnat est désormais joué, et certaines équipes habituées à se retrouver dans le haut du tableau font la grimace. C’est le cas de Lyon et de Bordeaux, qui squattent le ventre mou de la Ligue 1, et n’ont respectivement connu que trois et deux fois la victoire. Autrement dit, le « choc » de dimanche soir entre les deux formations pourrait permettre à l’un de ces deux clubs de se réveiller, de repartir de l’avant. A l’image des récents propos de Bafetimbi Gomis, à l’OL, on assure que la saison est encore longue et qu’un avenir européen est encore largement atteignable (voir article). Du coté de Bordeaux, le discours est similaire avec les propos rassurants et optimistes de Jean-Louis Triaud, puisque le président bordelais mise sur une victoire à Gerland pour retrouver rapidement la première partie de tableau.

« Il suffit de regarder le classement. Il y a beaucoup de proximité entre nous. On a toujours été assez amis avec Jean-Michel Aulas. J’espère qu’après notre passage à Lyon, on va inverser les positions. On n’est pas très loin des places d’honneur. Il reste 28 matches, ça peut aller très vite. Une équipe qui enchaine deux victoires, se retrouve dans les huit premiers. Donc il n’y a pas le feu », a livré le patron des Girondins, qui sait que sa formation finit généralement bien les saisons, même s’il serait probablement plus rassurant de s’éloigner de la zone rouge rapidement.