Sarkozy reste à l’écart de la polémique

Les élus irlandais font feu de tout bois depuis jeudi afin d’obtenir que l’on rejoue France-Irlande, un doux rêve. Interrogé lors d’une conférence de presse à Bruxelles, le président de la République n’a pas voulu se lancer dans la mêlée. « Lors de la réunion j'ai dit à Brian Cowen, le premier ministre irlandais, combien j'étais désolé pour eux. Mais ne me demandez pas de me substituer à l'arbitre, aux instances du football français, aux instances du football européen : laissez-moi à ma place », a rétorqué Nicolas Sarkozy.