L1 ‍: Payet et les Pringles, Khazri et les crêpes, il se lâche

L1 : Payet et les Pringles, Khazri et les crêpes, il se lâche

L'humouriste Baptiste Lecaplain a décidé de s'attaquer à deux figures de la Ligue 1, qui n'avaient rien demandé. Dimitri Payet et Wahbi Khazri sont sur le grill. 

Maitre à jouer de l’Olympique de Marseille, capitaine du club et figure emblématique de la ville, Dimitri Payet n’a plus vraiment la cote auprès de son entraineur à 35 ans. Et sans rythme, le Réunionnais ne risque pas de retrouver le chemin des terrains tant il a toujours eu du mal à garder un corps très affûté pendant les périodes plus compliquées. De quoi provoquer une sortie lunaire de la part de Baptiste Lecaplain, humoriste français grand fan de football et des Girondins de Bordeaux. Dans un entretien à RMC, il a décidé de tacler les joueurs qui ont parfois du mal à conserver une ligne athlétique parfaite, et il s’en est donc pris à Wahbi Khazri, en grande forme avec Montpellier mais qui a toujours eu un physique assez « costaud », et Dimitri Payet donc. 

Payet et son armoire à trophées

« Ça me rend ouf de voir des gars qui ont du bide. Wahbi Khazri, je l’ai vu une ou deux fois en serviette, mais mec, le talent qu’il a, c’est un joueur génialissime. Il était super fort. Ouais, mais il va manger ses petites crêpes au chocolat. C’est dommage. Dimitri Payet, son armoire à trophées, il n’y a que des Pringles dedans. Je suis désolé, mais c’est terrible. Ça me rend dingue. C’est ton outil de travail, respecte-toi », a lancé Baptiste Lecaplain, qui en profite pour glisser une vanne assez classique sur le fait que Dimitri Payet, malgré son talent et son statut de joueur international, n’a jamais remporté de trophée majeur dans sa carrière. 

Les joueurs concernés apprécieront modérément cette attaque sur leur hygiène de vie pas forcément en adéquation avec leur statut de joueur professionnel. Il n’empêche que les deux joueurs concernés ont toujours le talent et les jambes pour évoluer en Ligue 1, même si, à 30 ans bien passés, ils n’ont plus forcément la même forme qu’auparavant.