Rennes dit adieu à ce terrible flop

Rennes dit adieu à ce terrible flop

Icon Sport

Arrivé cet hiver pour 12 millions d’euros en provenance du Celtic pour renforcer l’attaque rennaise, Kyogo Furuhashi ne va pas s’éterniser en Bretagne.

En crise au mois de janvier, le Stade Rennais n’était pas loin de la zone rouge, ce qui a d’ailleurs coûté sa place à Jorge Sampaoli. Le club breton a également procédé à un gros recrutement au mercato hivernal en faisant notamment venir des joueurs comme Ismaël Koné, Lilian Brassier, Seko Fofana ou encore Brice Samba, qui ont contribué au regain de forme de l’équipe. D’autres recrues ont moins été en vue, c’est notamment le cas de l’énigme Kyogo Furuhashi. Le buteur japonais de 30 ans a été payé cher par Rennes, qui a dépensé 12 millions d’euros pour le faire venir en provenance du Celtic Glasgow.

Mais son aventure en France tourne au fiasco, avec six apparitions pour un total de seulement 120 minutes disputées en Ligue 1 (0 but, 0 passe décisive). Selon les informations du média écossais Celticway, qui continue de suivre la situation de l’ancienne star du Celtic Glasgow, l’avenir de Kyogo Furuhashi en France est déjà tranché. Le média l’affirme, le Stade Rennais va faire son maximum pour se séparer de l’attaquant japonais de 30 ans lors du prochain mercato. L’idée n’est clairement pas de lui offrir une seconde chance sur une saison complète, et Habib Beye a validé l’idée d’un départ pour celui qui n’aura jamais réussi à s’acclimater à la France et à la Ligue 1.

Rennes met Kyogo Furuhashi sur la liste des transferts

Malgré le probable départ du titulaire actuel en attaque, à savoir Arnaud Kalimuendo, ce n’est donc pas sur Kyogo Furuhashi que le Stade Rennais va miser pour faire oublier les 17 buts inscrits cette saison par l’international espoirs français. Reste maintenant pour Rennes à faire le plus difficile en trouvant un club susceptible de payer une dizaine de millions d’euros pour l’attaquant japonais, ce qui permettrait au résident du Roazhon Park de limiter la casse. Mais le divorce est en tout cas bel et bien consommé entre Rennes et celui qui partira sans conteste avec l’étiquette du flop de l’année.