Un nouveau monstre au PSG, Marquinhos est ravi

Un nouveau monstre au PSG, Marquinhos est ravi

Auteur d’un sauvetage décisif contre Aston Villa (défaite 3-2) mardi en Ligue des Champions, Willian Pacho a encore bluffé ses coéquipiers. Le défenseur central du Paris Saint-Germain a récolté les louanges de son capitaine Marquinhos.

Deux jours avant le cauchemar de l’Olympique Lyonnais à Old Trafford, le Paris Saint-Germain n’est pas passé loin d’un scénario similaire en Ligue des Champions. Alors qu’ils maîtrisaient leur quart de finale retour après le succès obtenu à l’aller (3-1), les Parisiens ont subi les vagues d’Aston Villa durant la deuxième période. La partie aurait pu aller en prolongation sans les exploits du gardien Gianluigi Donnarumma, ou sans l’incroyable sauvetage de l’Equatorien Willian Pacho.

Le défenseur central du Paris Saint-Germain s’est interposé sur la reprise puissante de Ian Maatsen dans le temps additionnel. Un geste salué par son coéquipier Marquinhos. « Incroyable, incroyable, a encensé le capitaine brésilien auprès d’ESPN. J’ai un peu joué contre lui en sélection. Je savais de quoi "Pachito" était capable, c'est un monstre, il le montre de plus en plus. » Arrivé l’été dernier, l’ancien joueur de l’Eintracht Francfort réussit parfaitement sa première saison dans la capitale française. Ses qualités athlétiques et son autorité font du bien au Paris Saint-Germain, où l’on complimente aussi son implication au quotidien.

L'adaptation réussie de Pacho

« Il le mérite vraiment, c’est quelqu’un de bien, une bonne personne, il travaille toujours beaucoup, a confié Marquinhos. C’est une de ses qualités, une force qu’il a, un défenseur complet, il a tout. » Son profil a donc convaincu l’entraîneur Luis Enrique d’en faire un élément intouchable dans son onze. « Ce n’est pas facile d’arriver au PSG comme ça, avec la philosophie du coach, qui demande toujours de presser, d’aller de l’avant, du un contre un derrière, et il le fait très bien », a noté le Brésilien ravi d’évoluer aux côtés de Willian Pacho.