PSG ‍: Messi, Sergio Ramos, l'Espagne hallucine déjà avec Paris

PSG : Messi, Sergio Ramos, l'Espagne hallucine déjà avec Paris

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Grands ennemis lors de nombreux classicos par le passé, Lionel Messi et Sergio Ramos sont désormais coéquipiers au PSG. Ils s'entendent très bien au point que l'Argentin ait offert un penalty à l'Espagnol ce vendredi. L'Espagne a encore du mal à réaliser.

Dans le football, tout est possible. Les ennemis d'hier peuvent devenir les amis d'aujourd'hui. C'est le cas pour Lionel Messi et Sergio Ramos au PSG. Longtemps opposés dans des classicos Real Madrid-FC Barcelone souvent très rugueux, ils étaient jugés irréconciliables. Le génie du dribble de Lionel Messi tranchait avec la défense physique d'un Sergio Ramos. Les deux hommes étaient emblématiques de leurs équipes à l'époque. La curiosité était grande à l'idée de les retrouver sous le même maillot à Paris. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'ils ne sont pas rancuniers l'un envers l'autre.

L'Espagne ne reconnaît plus Messi et Ramos

En effet, depuis le début de leur collaboration au PSG, les deux hommes s'entendent comme des amis de longue date. Sorties et diners ensemble, complicité sur le terrain, leurs anciennes tensions sont oubliées. Le meilleur exemple a été montré ce vendredi après-midi lors du premier match de préparation du club parisien face à Quevilly-Rouen. Lionel Messi a obtenu un penalty et, au lieu de s'offrir un nouveau but pour sa collection personnelle, il a laissé l'exécution de la sentence à Sergio Ramos, lui aussi très bon dans l'exercice. Un geste qui n'a pas laissé insensible le petit monde du football en Espagne.

« Messi donnant un penalty à Ramos même après qu'il lui ait fait ça... Le joueur le plus altruiste de tous les temps », « Messi offre un penalty à Ramos ..... Ramos marque et célèbre avec Messi, c'est toujours étrange, je dois m'y habituer », « Si quelqu'un m’avais dit que Messi serait victime d'une faute et donnerait le penalty à Ramos qui marquerait plus tard, j’aurais ri de lui », a t-on ironisé sur les réseaux sociaux. Le journal AS a lui débuté son article par cette phrase « Si on nous l’avait dit, il y a dix ans », se réjouissant néanmoins de voir à quel point les deux joueurs s'entendaient et surtout à quelle vitesse cela s'était fait. Alors que l'Espagne doit se faire à cette nouvelle donne, le PSG peut lui se frotter les mains. Le club parisien est conscient qu'avec un groupe aussi uni il pourra atteindre les sommets européens.