2025 sera l'année du choix de son futur stade pour le PSG. Les candidats se placent pour séduire le club de la capitale, et parlent déjà du Parc des Princes au passé.
L’opération séduction est lancée. Le PSG cherche un nouveau point de chute pour son futur stade et dans le département de l’Essonne, on rêve clairement de voir le club de la capitale trouver son bonheur. Deux sites sont étudiés actuellement, ceux de Ris-Orangis et Massy avec des gros avantages sur leur disponibilité et leur desserte, même si bien évidemment il y a un éloignement certain de Paris. L’avantage, c’est que le PSG a besoin d’espace et d’avoir des disponibilités rapides, ce que François Durovray, président du département de l’Essone estime être en capacité de fournir pour le projet parisien estimé, tout compris, à quasiment un milliard d'euros. En tout cas, le projet de racheter le Parc des Princes, ou de l’agrandir avec l’accord de la mairie de Paris dans les proportions voulues par QSI, est définitivement à l’abandon.
L'Essonne drague le PSG
Paris-Monaco : Le troisième round !
— Paris Saint-Germain (@PSG_inside) February 6, 2025
Tour d'horizon de ce qui nous attend demain au Parc des Princes à l'occasion de #PSGASM !@Ligue1
« On a la chance en Ile de France d’avoir un grand club, un club qui a besoin d’espace car comme vous le savez le Parc des Princes ne répond plus aux ambitions et aux nécessités d’un club qui a besoin d’avoir plus de places pour les supporters et d’avoir d’autres activités. Le PSG cherche également d’autres lieux et nous nous portons candidats avec deux propositions différentes. L’Essonne est un avantage pour le PSG, pour le foncier et les capacités de transport permettant de rassembler tous les supporters. La capacité de développement répond aux besoins d’un club sportif comme le PSG. Mais nous ne sommes qu’au début de la démarche, le choix n’est pas arrêté et nous avons bien conscience que nous ne sommes qu’au début de l’aventure. En tout cas, nous indiquons au PSG que s’ils font le choix de notre département nous serons là pour les accompagner et faire en sorte que leur arrivée soit une réussite », a livré l'ancien ministre des transports sur BFM TV. Un vrai plaidoyer pour attirer le club de la capitale vers le sud de la région, où il pourrait en effet avoir de la place pour se développer à sa guise. Il y sera en tout cas accueilli les bras ouverts.