Le fair-play financier? Même pas peur assure le patron du PSG

Le fair-play financier? Même pas peur assure le patron du PSG

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En faisant craquer Newcastle qui était pourtant déterminé à conserver Yohan Cabaye, le Paris Saint-Germain a de nouveau montré sa puissance financière et par la même occasion, sa capacité à renforcer son effectif avec des joueurs de classe internationale. Et ce n’est pas l’instauration du fair-play financier qui arrêtera la progression du club de la capitale dans la mesure où le PSG a sensiblement augmenté ses revenus sur ces dernières années. A tel point que Nasser Al-Khelaïfi dirige actuellement le cinquième club le plus riche au monde, ce qui, malgré la réglementation de l’UEFA, le rend plutôt optimiste.

« Nous sommes aujourd’hui le cinquième club le plus riche du monde. Ce n’est pas juste grâce au Qatar comme certains le pensent, mais parce que nous avons augmenté nos revenus de 60% par an, a confié le dirigeant qatari au Parisien. J’espère qu’un jour on sera les plus riches. On a monté une énorme équipe, on va continuer à acheter des joueurs. Le fair-play financier ne nous empêchera pas de recruter. » Voilà qui devrait rassurer Karl-Heinz Rummenigge, fidèle détracteur de la gestion financière du PSG.