OL ‍: Aulas et Fekir, deux cauchemars pour cet arbitre masqué ‍!

OL : Aulas et Fekir, deux cauchemars pour cet arbitre masqué !

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Sans dévoiler son identité, un ancien arbitre dévoile quelques anecdotes intéressantes sur les acteurs de Ligue 1 dans son livre intitulé « Je suis l’arbitre masqué ».

Du côté de l’Olympique Lyonnais, on apprend par exemple que certains joueurs étaient appréciés des hommes en noir. A l’image du gardien Hugo Lloris, « un gars simple et poli qui a toujours un mot sympa. (...) Tout comme son coéquipier de l'époque Jérémy Toulalan. » Mais à Lyon, il y a aussi ceux qui ne facilitent pas le travail des arbitres. Vous l’avez sûrement deviné, on parle bien sûr du président Jean-Michel Aulas qui a eu droit à son petit passage.

« Avant un match crucial pour la troisième place qualificative pour la Ligue des Champions, je le rencontre dans les couloirs du Parc OL et il m'interpelle : "N'oubliez pas que vous arbitrez un match à vingt millions d'euros !" Je me contente de sourire en retour, sachant bien que ce n'est que le début du florilège, a raconté l’ancien arbitre dans un extrait publié par Le Figaro. A l'image d'un joueur ultra-motivé, il donne tout dans ces occasions-là. Tout ce qui, à ses yeux, peut faire pencher la balance de son côté. Tout, jusqu'à l'excès. Comme haranguer un arbitre téléphone en main pour lui montrer son erreur ou refuser de serrer la main d'un autre dont la prestation lui a déplu. » Puis c’est au tour du capitaine de l’OL d’en prendre pour son grade

L’arrogant Fekir

« Nabil Fekir propulse le concept de sale gosse vers de nouveaux sommets, a-t-il lâché. La première chose qui me frappe quand je le découvre est sa démarche révélatrice. Le torse outrancièrement bombé, on devine le type que la terre peine à porter. Ça ne se démentira pas et tout le reste est à l'avenant. Sa manière pleine de dédain de s'adresser à moi, notamment. Enfin, quand il daigne le faire… C'est-à-dire pour quémander une faute ou nier éhontément celle qu'il vient de commettre sous mes yeux. Sans parler de ce qu'il persifle entre ses dents trop bas pour que je puisse l'entendre. » Supporters lyonnais, rassurez-vous, les Gones sont loin d’être les seuls ciblés dans ce livre.