Ce n’est pas la fin du monde à Nice

L’équipe niçoise est devenue adepte des montagnes russes cette saison avec des séries de victoires, puis de défaites. A Lens, samedi dernier, les Azuréens étaient dans cette sale période, mais pour Grégory Paisley il ne faut pas se mettre en mode paniquer.

« L'équipe sortait de six matchs très intéressants, dans la continuité au niveau du contenu. Après, toutes les équipes, tous les joueurs connaissent des coups de moins bien. Lens était une soirée sans... À part un ou deux joueurs, on n'y était pas. C'est un match à oublier mais ce n'est pas la fin du monde ! », constate l’ancien parisien dans Nice-Matin.